La conduite écocitoyenne est un comportement au volant qui s’insère parfaitement dans une démarche écologique valable. À cet effet, un automobiliste qui compte adopter ce style de conduite devrait opter pour un modèle adapté à ses besoins et à ses trajets ainsi qu’entretenir régulièrement et correctement son véhicule. Explication.
Opter pour une voiture selon ses itinéraires et ses nécessités
Mai 2006 fait apparaitre une étiquette-énergie sur les voitures particulières neuves proposées par les professionnels. On y retrouve en outre : l’identité du véhicule (marque, modèle, puissance, version…), son type de carburant (GNV, diesel ou essence), sa consommation, ses émissions de CO2 exprimées en g/km et son positionnement sur l’échelle de polluants selon des classes de couleurs. Pour adopter une voiture qui correspond aux exigences de ce style de conduite, il est préférable de visiter VZE. Ce site offre des conseils intéressants pour améliorer ses connaissances autour de l’écomobilité.
Entretenir d’une manière correcte son véhicule
Une voiture qui reçoit moins d’entretien consomme plus de carburant, environ 25 %. Par conséquent, il faut savoir qu’il pollue davantage. Dans ce sens, mieux vaut s’assurer qu’il n’y ait pas de fuites dans le moteur. Le futur écoconducteur doit également se préoccuper des différents niveaux en contrôlant les liquides de frein, de refroidissement ou encore l’huile et le lave-glace. D’un autre point de vue, la vérification de la pression pneumatique est aussi de mise. En novembre 2012 est d’ailleurs apparue une règlementation par rapport à cela. Depuis, une insigne énergie permet de choisir cette partie du véhicule selon trois indices, soit en fonction de son adhérence sur une piste mouillée, qui est un gage de sécurité, de sa consommation de carburant et son bruit de roulement externe.