Cette maladie contagieuse est mortelle chez les chats. Tout comme le sida chez cette race, elle s’attaque au système immunitaire de l’animal et le rend plus vulnérable et sensible à de nombreuses maladies et infections mêmes anodines. Une fois atteint, on ne peut qu’atténuer les symptômes et non empêcher son décès.
Reconnaître les symptômes est la première chose à faire
Des sujets concernant cette maladie calamiteuse sont disponibles sur presque toutes les plateformes parlant des animaux de compagnie. Toutefois, il est préférable de s’attarder sur les symptômes pour que vous puissiez réagir une fois le diagnostic prononcé. Le site César & Félix énumère les ganglions, la perte d’appétit, la fatigue et la fièvre comme des signes évidents de la maladie. D’autres marques plus graves comme une anémie, la formation de tumeurs dans son organisme, ainsi qu’une immunodéficience témoignent de l’avancée de la dégradation de la santé de votre compagnon. S’il développe la plupart de ces symptômes, emmenez-le immédiatement chez un vétérinaire.
Des traitements possibles si trop tard pour la prévention
Si vous n’avez pas eu l’occasion de faire vacciner votre chat contre cette maladie et qu’il l’a déjà contractée, il n’existe aucune lutte curative. Vous pouvez toutefois alléger la souffrance de votre ami en lui administrant des médicaments renforçant ses défenses immunitaires. Cela va lui apporter un certain confort et évite les risques de surinfection. Des séances de chimiothérapie seront prescrites, ainsi qu’une alimentation saine et de grandes qualités pour l’aider.